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Dossier : avant les Assises… pendant les Assises… juillet-août-septembre-octobre-novembre 2012… ouf ! c’est fini (MàJ le 28/11, photos ajoutées le 3/12)

lundi 3 décembre 2012, par Clèves, princesse(s)

Les assises nationales : un grand moment de dialogue social réservé à ceux qui pensent la même chose

Communiqué de SLU, 27 novembre 2012.


Une fois passée la porte…

Les chiens renifleurs…

On pouvait prétendre faire partie de l’élite des messieurs en noir avec un petit collier rose et accéder au buffet ! (fort classieux, paraît-il)


Assises de la recherche : les propositions

Sylvestre Huet, Blog Sciences2, 28 novembre 2012


Assises en direct (suite) : reportage sur le rapport final

Par notre agent embeddé mardi 27 novembre 2012


Sortis des ateliers thématiques

Assises de l’ESR : 121 propositions, 27 novembre 2012


Assises de la recherche : les doctorants invisibles ?

Sylvestre Huet, Sciences2, 27 novembre 2012


ALERTE ! SLU privée de parole aux assises nationales !

SLU ! 26 novembre 2012
Une grande partie des représentants syndicaux et des représentants régionaux ainsi que la représentante SLU sont actuellement relégués dans des amphi pleins mais ... fictifs ! En effet, s’ils assistent en direct vidéo aux débats des Assises de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche qui ont lieu dans un autre amphi, ils ne peuvent matériellement pas imaginer un seul instant intervenir...

(Dernière minute : on nous dit que le public de l’amphi réel, lui non plus, n’a pas à s’imaginer intervenir matériellement... D’ailleurs, ce ne sont pas des "Débats", mais des "Assises"... et on est tous assis...)
abyme
Tout cela donnant lieu à une furieuse mise en abyme de regardeur filmé en train d’écouter…

Lire le tout ici


Assises de la recherche : une interview d’Alain Trautmann

S. Huet, Blog Sciences2, 26 novembre 2012

À lire ici


Des revendications pour l’ensemble des personnels de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

Communiqué de la Ferc-sup CGT, 23 novembre 2012


Contribution aux assises de l’ESR du Groupement des Associations de Langues Étrangères

25 octobre 2012
On peut regretter que les Sciences Humaines en général et les disciplines de langues étrangères en particulier soient si peu représentées au sein du comité de pilotage des Assises de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Les sociétés savantes de langues, par leur nombre et leur maillage très efficace du territoire français, jouent un rôle clé dans le maintien et le développement d’une recherche variée et alimentent et soutiennent des réseaux de chercheurs au potentiel scientifique important.
Télécharger le texte complet de la contribution ci-dessous.

PDF - 95.7 ko
Contribution Assoc Langues

Le char des "assises" et ses chevaux de retour

SNCS Hebdo, 12, n° 14, 10 octobre 2012


Contribution des enseignants-chercheurs de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UFR d’Histoire, réunis en assemblée générale le 5 octobre 2012.

À lire intégralement ici


Contribution de l’UCBL (Lyon1) aux Assises de l’ESR

Proposant explicitement la sélection en licence (pour le rapprochement avec
les GE) et une modulation des droits d’inscriptions (qu’on imagine aisément a la hausse)
À télécharger…

PDF - 132.9 ko

« Notre agent à la Havane » ou Des Assises à dormir debout - X… chercheur embedded à l’école Boulle (Assises territoriales, Île-de-France)

le 3 octobre 2012
C’est


Contribution de l’Assemblée Générale de l’INSTITUT COCHIN aux Assises de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche

A. Trautman, SLR, 4 octobre 2012
C’est ici


Pourquoi SUD éducation ne participe pas en tant qu’organisation syndicale aux Assises Territoriales de l’ESR

27 septembre 2012
À lire ici


Entretien de Vincent Berger (COPIL)à CNRS Hebdo

« toutes les décisions ne coûtent pas de l’argent ».
Le 28 septembre 2012.
C’est


Communiqué de SLU


28 septembre 2012
SLU avait été invité aux Assises dites "territoriales" en Île-de-France. Le CA de l’association a décidé de décliner l’invitation. Nous en expliquons ici les raisons.

Contribution de SLU aux Assises de l’ESR.

24 septembre 2012
À lire ici


Les Assises et l’air du temps ou quelle logique pilote le comité de pilotage des Assises ?

Christophe Pébarthe, Mediapart, 26 septembre 2012.
À lire ici


Assises, format territorial – SLR-Lyon décline l’invitation du PRES

26 septembre 2012
À lire ici


Contribution de la Conférence des grandes écoles et de la CPU aux "Assises" de l’ESR

20 septembre 2012.
Ils n’étaient pas trop de deux… à lire là


Les problèmes suscités par l’organisation actuelle des Assises de l’ES-R

Henri Audier, 24 septembre 2012
À lire là


Communiqué de la section SNESUP de Toulon

18 septembre 2012
À lire ici


Audition de SLR par le comité de pilotage des Assises de l’ESR

17 septembre 2012

Cette audition avait été préparée par deux réunions du CA ouvert à tous les adhérents (voir compte-rendu du CA du 4 septembre). Ces deux réunions avaient abouti d’une part au choix de la délégation (Didier Chatenay, Catherine Deville Cavellin, François Jouve, Anne Saada, Emmanuel Saint-James) et d’autre part à la décision de demander à filmer l’audition, et en cas de refus de partir.

En outre le texte de 20 pages "Ce que veut SLR" a été distribué en séance.

Compte rendu
La séance commence. Conformément à ce qui avait été décidé nous demandons à filmer l’audition. Après quelques minutes de concertation au sein du comité ils décident de ne pas nous y autoriser. Nous apprenons que la question de rendre publique l’intégralité des débats avait déjà fait l’objet d’une discussion au sein de la commission et qu’ils avaient finalement décidé de garder les échanges confidentiels pour préserver la "liberté de parole des auditionnés". Ils refusent de faire une exception pour SLR afin de garder une attitude homogène vis à vis de tous les auditionnés. Certains membres du comité se montrent agacés voire choqués de la méthode "malhonnête" qui consiste à les mettre devant le fait accompli.
Lire la suite ici


Auditions Copil –Propos liminaire de SLU, 17 septembre 2012

SLU a été auditionné le 17 septembre 2012 par le Comité de pilotage des Assises. Lire le résumé ici


À l’issue de la première phase des Assises, le comité de pilotage dresse un bilan des auditions réalisées en deux temps, entre le 28 août et le 18 septembre, auprès d’organisations représentatives et institutionnelles.

PDF - 275.9 ko

Note de synthèse à télécharger ci-dessus [1]


Communiqué de SUD-Recherche sur les Assises


14 septembre 2012
À lire là


Contribution de la 10e section du CNU

(Littératures comparées) aux Assises de l’Enseignement supérieur et de la recherche (septembre 2012)
À lire ici


Note du C3N sur les Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

2 septembre 2012
À lire ici


Communiqué de la CGT Ferc sup :

Rentrée 2012-13 dans les établissements d’enseignement supérieur et de recherche, le 14 septembre 2012
À lire ici


Louis Vogel, président de la CPU, très inquiet sur le calendrier

Interview dans Les échos, le 11 septembre


Qu’attendre des Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche ?

Politis.fr, Florent Lacaille-Albiges, le 7 septembre 2012


3 billets de Pierre Dubois sur les Assises

À lire dans Educpros ou ici (11 septembre)


Communiqué du PCF

Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche : L’atelier législatif du Front de gauche indispensable outil du cap à gauche. Le 6 septembre 2012.


Assises de l’enseignement supérieur, Georges Debregeas, chercheur au CNRS : « Je n’ai aucun espoir sur ces Assises »,

lemonde.fr, blog "le grand amphi", propos recueillis par Nathalie Brafman, le 6 septembre 2012


Communiqué de presse du SNTRS.

En lançant les assises de l’enseignement supérieur et de la recherche,
le gouvernement veut-il réellement changer de politique ?

Cette question mérite d’être posée, compte tenu des dernières déclarations de la ministre, notamment celle sur Mediapart ou la prise de position du président de la république sur le crédit impôt recherche (CIR) à Châlons en Champagne.

Sur le sujet très controversé du CIR, qui est l’une des plus importantes niches fiscales pour les grandes entreprises, François Hollande affirme qu’il sera préservé et élargi à l’innovation, notamment dans les PME. Pourtant, c’est grâce à ce type de dispositif que les grands groupes se libèrent en grande partie de leur impôt, sans pour autant embaucher largement dans la recherche et le développement ni tenir leurs engagements sur le long terme. En témoignent les décisions de Sanofi de fermer ses centres de recherche de Montpellier et de Toulouse malgré l’obtention d’un CIR de 130 millions d’euros par an. Le débat aurait mérité d’être ouvert, avant d’être tranché !

Médiapart révèle à juste titre que Mme Fioraso assume les objectifs de ses prédécesseurs. On voudrait nous faire croire, qu’avec un peu plus de collégialité, la LRU aurait été acceptable ainsi que le grand emprunt, si plus de temps avait été donné aux universitaires pour monter leurs dossiers.

Mais ce discours fait oublier l’objectif fondamental des réformes mises en place, réformes qui avaient été prônées par l’OCDE et d’autres organismes internationaux : la mise en place du « nouveau management public » déjà testé dans les pays anglo-saxons. Il s’agit de mettre en place un marché ou un quasi-marché pour les secteurs autrefois considérés comme biens publics. Comme pour l’hôpital, on a instauré une gestion entrepreneuriale, des agences de financement, des indicateurs, des processus de concurrence généralisés et la casse des garanties statutaires en généralisant l’emploi précaire. On a préparé le pilotage par les entreprises et garanti à certaines la rente juteuse des Partenariats Public Privé.

C’est d’une réflexion collective, qui ne se polarise pas sur la forme et n’oublie pas le fond des réformes passées dont nous avons besoin. Si les personnels ne s’imposent pas dans ces assises, elles se limiteront à une simple consultation. La parole des organisations représentatives des personnels sera noyée par celles des pseudo-experts et des technocrates ministériels, tous persuadés du bien fondé des politiques passées, moyennant quelques évolutions à la marge. C’est pour l’instant cette direction qui est prise, en auditionnant tous les ministères et toutes les superstructures mises en place par le pacte pour la recherche (alliances, etc). Le lancement de la partie régionale des assises, placée sous le triple commandement du préfet, du recteur et du président de région fait craindre la montée de ceux qui sous le prétexte d’une plus grande efficacité pour les économies régionales sont prêts à brader le rôle national des organismes de recherche.

Le SNTRS-CGT appelle les personnels à intervenir sur les questions institutionnelles, mais sans se limiter à celles-ci. Même si le discours officiel est marqué par la rigueur qu’on veut nous imposer, il faudra aussi parler de l’emploi (résorption de la précarité et création de postes), de l’attractivité des carrières, des budgets des laboratoires.

Villejuif, le 5 septembre 2012

Lire aussi, État, régions : qui doit orienter la recherche ? SNCS-Hebdo 12 n°11 du 6 septembre 2012.


Question pour le PS à La Rochelle : comment réussir le changement dans l’ES-R ? Et c’est pour quand ?

Educpros, Henri Audier, 23 août 2012.

Chers amis socialistes,

Je m’adresse à ceux d’entre vous qui pendant dix ans se sont opposé à la politique de la droite, dans les syndicats et associations, comme élus ou comme manifestants. Vous qui êtes pour quelque chose dans la défaite de Sarkozy, je vous suggère de poser une question lors de l’Ecole d’été du PS à La Rochelle : « Comment réussir le changement dans l’Enseignement supérieur et la recherche. Et c’est pour quand ? ». Certes il y a eu l’abrogation de l’ignoble circulaire Guéant, la suspension de l’inapplicable décret sur l’évaluation des EC, une avancée sur le pré-recrutement des enseignants et une modeste ouverture récente sur la précarité. Mais c’est loin, très loin des attentes et des espérances.

Pourtant, après les premières déclarations de la ministre et de son directeur de cabinet, les choses semblaient bien parties. Mais l’optimisme a été de courte durée et mieux vaut en analyser les raisons afin d’aller de l’avant dans le changement, plutôt que d’utiliser les erreurs ou les crainte pour torpiller le gouvernement. La première déception vint de la composition du cabinet et de la nomination de conseillers, pratiquement tous sont issus du groupe « Marc Bloch » , réseau d’influence de hauts fonctionnaires et de Présidents d’universités [2]. Leur inertie au changement est illustré par des déclarations et écrits passés (sur les structures de l’ES-R notamment) de certains membres du groupe qui viennent d’être rediffusés dans les réseaux sociaux de ES-R [3]. Ce n’est donc peut-être pas un hasard si aucune mesure d’urgence touchant les structures de la recherche n’a été prise à ce jour : pas de transfert de crédits ANR vers les organismes, aucun geste sur l’AERES, silence sur le Grand emprunt.
Sur le Grand emprunt, certains élus du PS ont beaucoup à se faire pardonner. Car enfin, il aurait suffit que les Présidents de région affirment l’évidence, à savoir qu’il est bête, méchant, stupide, idiot, insensé, débile, crétin d’opposer Marseille et Montpellier, Strasbourg et Lyon, Bordeaux et Grenoble, pour qu’il n’y ait jamais eu d’Idex.

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Quatre ex-présidents aux manettes.

Educpros, Pierre Dubois, 20 juillet 2012

Pour la première fois dans l’histoire des universités françaises, les trois présidents, composant le bureau de la CPU entre décembre 2008 et décembre 2010, se retrouvent ensemble aux manettes de l’enseignement supérieur et de la recherche (composition du cabinet de Geneviève Fioraso). Un quatrième président, président de commission de la CPU aux mêmes dates, vient compléter le trio. Ces présidents d’université étaient au pouvoir lors du passage des premières universités aux responsabilités et compétences élargies (RCE), lors du mouvement des enseignants du printemps 2009.

La ministre a fixé la thématique des Assises de l’automne prochain : corriger la LRU sans remettre en cause les RCE, assurer la réussite de tous les étudiants et leur insertion professionnelle, réviser la gouvernance des universités et les politiques de sites et de réseaux. Sur ces questions et au travers des chroniques de ce blog, qu’ont dit et qu’ont fait ces cadors quand ils étaient présidents d’université et chefs de la CPU ? Les 4, par ordre alphabétique.

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Un site dédié du Ministère de l’ESR


Composition du comité de pilotage des Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche

Présidente : Françoise Barré-Sinoussi

Françoise Barré-Sinoussi est lauréate du Prix Nobel de médecine 2008 avec le professeur Luc Montagnier pour leur découverte du V.I.H. en 1983.
Françoise Barré Sinoussi est directrice de recherche de classe exceptionnelle à l’INSERM et Professeur à l’Institut Pasteur où elle dirige l’unité de régulation des infections rétrovirales. Elle est membre de l’Académie des Sciences.
Elle est impliquée dans la recherche en rétrovirologie depuis le début des années 1970. Elle est reconnue pour sa grande contribution à la recherche sur le V.I.H./sida, en particulier en tant que premier auteur de la publication annonçant, en 1983, l’identification d’un nouveau rétrovirus humain qui sera appelé le virus de l’immunodéficience humaine (V.I.H.). En 1988, elle prend la responsabilité d’un laboratoire à l’Institut Pasteur et lance des programmes de recherche sur les déterminants du virus et de l’hôte dans la pathogenèse du sida. Entre 1988 et 1998, elle a également participé à des programmes collaboratifs sur la recherche vaccinale contre le V.I.H.
Parallèlement à ses activités de recherche, Françoise Barré-Sinoussi est fortement impliquée dans la promotion d’interactions entre activités de recherche sur le V.I.H./sida et actions de santé publique dans les pays en développement. Elle est profondément engagée dans le renforcement des capacités, la formation et le transfert de technologie en Afrique et en Asie, en particulier au travers du Réseau International des Instituts Pasteur, et la coordination des programmes de recherche de l’Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (A.N.R.S.) au Cambodge et au Viêt-Nam.
Françoise Barré-Sinoussi est auteur ou co-auteur de plus de 270 publications scientifiques originales et membre de nombreux comités scientifiques français ou internationaux. Elle sera en particulier la prochaine Présidente de la Société Internationale du Sida (I.A.S.) à compter de Juillet 2012.

Rapporteur général : Vincent Berger
Vincent Berger est Président de l’Université Paris 7 Diderot depuis 2009.
Ancien élève de l’École Normale Supérieure, rue d’Ulm, en 1988, Vincent Berger a travaillé au Laboratoire central de recherches du groupe Thales (ex Thomson CSF) de 1990 à 2001, avant de devenir professeur à l’Université Paris Diderot Paris 7.
Ses recherches concernent la physique des hétérostructures semiconductrices et des dispositifs optoélectroniques (détecteurs infrarouge, sources de photons jumeaux, dispositifs non linéaires, matériaux photoniques).
Il a écrit plus de 130 publications et déposé une quinzaine de brevets. Il a reçu le prix Fabry De Gramont décerné par la Société Française d’Optique en 2001, ainsi que le prix Young Innovator décerné par le MIT.
Vincent Berger a été directeur du Laboratoire "Matériaux et Phénomènes Quantiques" à partir de 2001 (devenu U.M.R. en 2005), puis directeur de l’U.F.R.de Physique de fin 2006 à début 2009.
Il est expert pour le Centre d’Analyse Stratégique, membre de l’Institut de l’Entreprise, et membre de l’Institut Universitaire de France.

Parlementaire auprès du comité de pilotage : Jean-Yves Le Déaut
Député de Meurthe-et-Moselle, Premier vice-Président du Conseil régional de Lorraine
Secrétaire général : Stéphane Kesler
Inspecteur général de l’administration de l’Education nationale et de la Recherche
Secrétaire général adjoint : Florent Olivier
Ingénieur docteur, responsable du service Offre de formation – Université Paris-Est Créteil

Membres du comité de pilotage

- Ariane Bliek, Ingénieur de Recherche, directrice des relations internationales - Université d’Aix-Marseille

- Véronique Chankowski, Professeure des universités en histoire grecque, membre de l’IUF – Université de Lille

- Bruno Chaudret, Président du conseil scientifique du CNRS, membre de l’Académie des sciences

- Catherine Colliot-Thelene, Professeure des universités, membre de l’IUF – Université de Rennes 1

- Roger Fougeres, Professeur honoraire des universités, ancien vice-président Enseignement supérieur et Recherche du Conseil régional Rhône-Alpes

- Claire Guichet, Membre du Conseil économique, social et environnemental, ancienne présidente de la FAGE

- Christophe Lecante, Président de la société TKM, administrateur et président de la commission Innovation du Comité Richelieu

- Rémy Mosseri, Directeur de recherche, laboratoire de physique théorique de la matière condensée – CNRS/UPMC

- Sandrine Murcia, Directrice générale de la société Spring-Lab, présidente de Silicon Sentier

- Frédérique Pallez, Ingénieure des Mines, directrice du Centre de recherche en sociologie – Ecole des Mines

- Antoine Petit, Agrégé de mathématiques, professeur des universités, directeur adjoint de l’INRIA

- Brigitte Plateau, Professeure des universités, administratrice générale de Grenoble INP

- Jean-Baptiste Prévost, Membre du Conseil Économique, social et environnemental, ancien président de l’UNEF

- Andrée Sursock, Secrétaire générale adjointe de l’European University Association

- Pierre Tambourin, Polytechnicien, directeur de recherche à l’INSERM, directeur général de Genopole

- Cédric Villani, Professeur des universités, médaille Fields 2010, directeur de l’Institut Henri Poincaré

- Anne-Lucie Wack, Ingénieure des Ponts, Eaux et Forêts, directrice d’Agropolis Fondation


Françoise Barré-Sinoussi prend la tête du comité de pilotage des assises de l’enseignement supérieur

Dernière minute (Nathalie Brafman , Le Monde, Blog "Peut mieux faire", 9 juillet 2012)

C’est Françoise Barré-Sinoussi, chercheuse française de renommée mondiale, qui présidera le comité de pilotage des assises de l’enseignement supérieur et de la recherche.

L’information a été révélée par Alain Fuchs, président du CNRS, lors d’un déjeuner informel avec des journalistes. Elle a été confirmée par plusieurs sources.

Les assises de l’enseignement supérieur et de la recherche auront lieu fin octobre début novembre, préalable à une nouvelle loi recherche et universités. "Ce ne seront pas des états généraux. Cela ne va pas être un foisonnement, une boite à idées. Les idées on les a, il s’agit de les hiérarchiser, de regarder leur mise en oeuvre, de mesurer leur adhésion, de faire en sorte de rééquilibrer des choses qui ont été déséquilibrées", avait indiqué Geneviève Fioraso, lors d’un déplacement au siège du CNRS lundi 21 mai, sa première sortie en tant que ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Françoise Barré-Sinoussi fut la première Française a recevoir un prix Nobel de médecine en 2008, avec le professeur Luc Montagnier, pour avoir découvert en 1983 le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) à l’origine du sida.
Née le 30 juillet 1947, elle a obtenu son doctorat en 1974 à la faculté des sciences de Paris.


[1On notera le lapsus : le document s’appelle "note-synthèse-auditions-territoriales". Ah bon ?

[3Le problème est que beaucoup des membres de ce groupe hétérogène ont soit subi avec un grand stoïcisme silencieux la politique de Valérie Pécresse, soit ils l’ont justifié, voire ont participé à sa conception